Février 2010 - Ptit Fat
Dj Ptit Fat
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Love's t'aimes
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What the funk is this ?
Mai 2013 - Ptit Fat
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Latino coco !
Mai 2013 - Ptit Fat
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Lunchtime in the Wood
Juillet 2013 - Ptit Fat
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Les Hommes Préfèrent Les Ondes
Janvier 2009 - Ptit Fat
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Les Mixtapes de l'Apéro - Perrier rondelle
Juin 2012 - Ptit Fat
Depuis 10 ans, Ptit Fat enfile sa casquette de DJ et trimballe ses platines MK2 un peu partout, dans les festivals, les salles de concerts, les bars mais aussi les jardins, les parcs et les terrasses... Du grand ouest de la France à la Suisse, Ptit Fat réjouit l'oreille de tous ceux qu'il rencontre avec ses sélections musicales. La techno et l'électronica des débuts ont fait place à l'abstract hip-hop et au jazz funk dans une seconde période, avec une prédilection pour les rythmes latino et l'afrobeat plus récemment. Ptit Fat, éternel "crate digger", se renouvelle constamment tout en continuant d'explorer le vaste monde de la musique.
Bienvenue dans l'univers musical de DJ Ptit Fat !
Quelques dates :
- Les Festivals : Cosa Mentale (53) / Festival 3 Continents (44) / La Cassine (08) / Lézard Nomade (35) / Les Bouts De Ficelles (53) / Les Entrelacés (53) / Les 3 Éléphants (35) / Nuit Blanche (53) / Saveur Jazz (49) / ...
- Les salles : Chaou Baou (49) / Des Lendemains Qui Chantent (19) / L'Astrolabe (45) / Le Carré (53) / Le Confort Moderne (86) / La Garsouille (14) / Le 6PAR4 (53) / Le Palindrome (53) / Le Sablier (35) / L'Ubu (35) / …
- Les bars : La Bernique (35) / Le Bo'Bar't (75) / Le Café Laverie (35) / Le Chantier (35) / La Garsouille (14) / Le Vinophone (17) / ...et bars V.I.P : Le Bar O'Mètre (Suisse) / Au Foin De La Rue (53) / Les 3 Éléphants (53) / L'Alpina Hôtel (Suisse) ...
OUEST FRANCE - MAI 2014
Ptit Fat mitonne le meilleur son pour nos oreilles
Ils font la Mayenne. DJ et musicien, Mathieu Maurice est l'un des invités incontournables des 3 Éléphants. Il proposera des siestes musicales et de l'électro avec un duo étonnant, Joy Squander.
Portrait
On ressemble rarement à ceux qu'on aime. Sinon, Mathieu Maurice aurait la tête de Miles Davis, la voix de baryton d'Isaac Hayes, le sens du groove de Curtis Mayfield, la guitare volubile de Gabor Szabo. Mais comme nous tous, il n'a pas le profil des héros qui font les beaux sur les pochettes des vinyles qu'il collectionne en quantité.
Mathieu Maurice ne ressemble pas, non plus, à son surnom, Ptit Fat. Ni vraiment petit, ni vraiment gros, c'est un Mayennais qui a la tête ailleurs, entre Mississippi et Éthiopie, et qui cultive une passion vibrante pour toutes les musiques : soul, afro-beat, électro, acid-jazz, blues, latino, classique... Qu'il fait groover sur sa platine.
Ptit Fat est un abonné des 3 Eph'. Comme chaque année, il fait entendre ses meilleurs millésimes sous pochettes cartonnées, pendant les pauses repas, à un public affalé sur l'herbe au pied des remparts. « J'essaie d'amener progressivement les gens dans un bain musical et de leur faire découvrir un univers, de transmettre une connaissance de la musique. »
Des disques du Rajasthan !
Dans ses caisses, que des vinyles, pas de CD ! « Je les ai récupérés dans les braderies et les poubelles. À une époque, tout le monde s'en débarrassait. » Sur les étagères de sa chambre qui ploient sous les disques, on croise des incontournables du jazz, du rock, de la bossa, mais aussi quantité de raretés, qu'elles appartiennent au blues rural, aux expérimentations free-jazz ou au... folklore des Indes.
« Au Rajasthan, j'ai rencontré un papy, descendant d'une famille de maharajas, qui avait enregistré des disques jusque dans les années 1980. Les vinyles n'avaient pas été touchés depuis. Je me suis dit que c'était le moyen de faire une super compil'. » Comme un Alan Lomax français, il revient avec une valise de disques dans l'espoir de sauver un patrimoine. Comportement qu'il réédite après un voyage au Maroc. « Là-bas, les gamins s'en servaient comme frisbee. »
Mathieu Maurice est né à Laval, en 1981, alors que le vinyle vit ses dernières années de gloire. Dans le sous-sol du pavillon parental, il installe un petit studio insonorisé pour bidouiller sa musique électro. Et il n'a pas 14 ans, quand il part tout seul, à Glastonbury, en Angleterre, pour écouter Portishead et Massive Attack. Ses parents (sa mère est institutrice, son père, artiste peintre) le laissent libre de trouver sa voie.
Ce sera la musique. « Je ne suis pas instrumentiste, mais je touche à tout. Je recherche l'atmosphère musicale plutôt que la maîtrise d'un instrument. » Sur son album, Rude Paradis (sorti en 2009), il joue de la guitare, du saxo, de l'alto, de la flûte, du clavier, de la boîte à rythmes, des percussions... Un orchestre à lui tout seul.
Depuis six ans, il est intermittent du spectacle et collabore avec quantité de groupes. Comme Funk you very much (FYVM), un combo de neuf musiciens qui revisitent des standards soul et funk. Mais c'est avec son complice Alexandre Rivière, au sein de Joy Squander, un duo électro hip-hop, qu'il montre le plus d'ambition. « Depuis novembre 2013, nous sortons un 45 tours par saison. Celui du printemps vient de sortir. » En septembre, un coffret rassemblera les quatre saisons. Un hommage à Vivaldi, sans doute. On peut aimer le rock et le baroque.
Jean-François Valée / 18 Mai 2014
OUEST FRANCE - MAI 2012
Ptit Fat
Ce Lavallois de 31 ans fera découvrir quelques-uns de ses trésors vendredi, samedi et dimanche, au festival Les 3 Éléphants.
Chez Ptit Fat, il y a des vinyles du sol au plafond. Combien en a-t-il au juste ? « Je ne sais pas... Peut-être une tonne », glisse-t-il en souriant. Ce qui est sûr en revanche, c'est que Mathieu Maurice (c'est son vrai nom) cultive un goût immodéré pour la musique. Pour toutes les musiques : jazz, rock, soul, funk, latino, hip-hop, classique... Toutes sauf « le métal et le biniou ». Ses vinyles sont, pour lui, comme des « archives ». Les CD ? « J'en ai dans des cartons, mais je ne les écoute pas. »
Depuis quelques années, Ptit Fat propose des concepts originaux dans les grandes manifestations : pendant la pause-déjeuner, la sieste, à la plage ou en soirée, il crée des ambiances musicales en proposant une sélection de disques adaptée. Ptit Fat fait le DJ, mais pas question pour lui de passer les dernières variétoches à la mode. Pour créer ces moments particuliers, il puise dans ses trésors, sa banque de vinyles.
Faire sortir les gens
Les 3 Éléphants lui font d'ailleurs confiance pour l'animation musicale de leur village qui sera situé, cette année encore, promenade Anne-d'Alègre, le long des remparts. Demain, vendredi, de 18 h à 22 h, ce Lavallois de 31 ans ouvrira le festival avec une sélection plutôt festive. Puis, samedi et dimanche, c'est à l'heure du déjeuner, que Ptit Fat sortira sa platine pour un « pique-nique en musique ». Samedi, il sera accompagné par Papho et dimanche, par Ludope, deux autres DJ qu'il a invités à le rejoindre.
« Parfois, je fais aussi le DJ Broc'. J'achète des vinyles dans des brocantes et je les passe en soirée. Dès que le disque est terminé, tous les participants peuvent l'acheter. Parfois, ça se bagarre un peu pour l'avoir, c'est marrant. » Faire sortir les gens, les faire se rencontrer, leur faire découvrir des musiques ou leur donner envie d'acheter des disques, voilà les motivations de Ptit Fat.
Quand il ne fait pas le « sélectionneur de disques », Ptit Fat crée sa propre musique. Elle est faite d'un mélange de sons qu'il assemble avec son ordinateur. En écoutant son dernier album, Rude Paradis, sorti en 2009, on sent clairement des couleurs jazz et musiques du monde. Mais quel est son style au juste ? « Je ne sais pas. J'ai tellement d'influences différentes. En plus, aujourd'hui toutes les musiques sont produites avec des ordinateurs. Donc pour moi, tout est un peu de l'electro. » Ptit Fat n'est pas étiquetable et c'est très bien comme ça.
Solange Esteves / 11 Mai 2012
TRANZISTOR N° 43
Dj, collectionneur de vinyles invétéré, Ptit Fat sortait en 2010 son premier 33 tours, le très réussi « Rude Paradis ». Ni trip hop, ni world, ni electro, sa musique voyage au gré de ses humeurs et de ses goûts sans oeillère. Bruits de fond, mélopées africaines, sax fiévreux ou rythmiques électroniques, le Lavallois bricole un bric à brac bien à lui, un univers plein d’atmosphères. Un drôle de cinéma pour l’oreille.
L’origine de ton nom d’artiste ?
Les gens me connaissaient déjà par mon surnom, « Ptit Fat », il y a 10-15 ans. Le jour où il a fallu chercher un nom d’artiste, il était déjà tout trouvé.
Texte ou musique ?
La musique avant tout et ensuite les paroles s’il y en a. Je cherche à faire passer une émotion, une ambiance ou tout simplement raconter une histoire à l’auditeur afin qu’il s’évade quelques instants. Les paroles apparaissent sous forme de mélodie que je fredonne jusqu’à ce que le texte vienne compléter ou finaliser le tout. Je crois que les paroles ne sont pas systématiquement nécessaires pour comprendre le thème d’un morceau ou l’apprécier pleinement.
Ta pire galère et ton meilleur souvenir ?
Pire galère : lorsque tombent à l’eau un ou plusieurs projets qui te tiennent à coeur. Mon meilleur souvenir, je crois que ce serait la finalisation du disque de Fakir en 2002, Période Métatronique.
Où et quand écouter ton morceau ?
Installé confortablement en mode détente comme si vous alliez lire un livre, regarder un film ou bien rêvasser tranquillement. Le cadre, une île « paradisiaque » sous le soleil bien sûr, avec comme toile de fond un chemin de terre battue. On peut entendre les passants discuter et saluer des amis en mobylette, le tout accompagné par le bruit des insectes et autres animaux cachés au frais des palmiers…
Eté 2011
OUEST FRANCE - MAI 2011
Ptit Fat adore le vinyle qui craque
Ce jeune musicien anime en musique le pique-nique du village. Et c'est un passionné des bons vieux 33 tours.
Il puise dans son bac à vinyles et en ressort un disque d'un autre temps.Avec une fille sexy sur la pochette et une musique qui tape dans le mille et fait bouger les gambettes.C'est dans les vieux pots qu'on fait de la bonne soupe, n'est ce pas Ptit Fat ? « Oui, je suis fan de vinyles.Chez moi j'en ai un millier. Le son est moins parfait, mais plus chaud, plus naturel ». Ses goûts sont éclectiques : du jazz des années cinquante, du funk, de la musique du monde ou du hip-hop.
Ptit Fat animait, hier midi, le pique-nique musical dans le village. Avec un invité surprise, Jean-Louis Brossard, le programmateur des Transmusicales de Rennes. Et franchement, poser sur la platine, les Soups dragons reprenant le I'm free des Stones à l'heure du déjeuner, c'est coolissime comme attitude !
Le public retrouve le jeune homme aujourd'hui à la maême heure et dans le même lieu. Mais le Ptit Fat en question n'est pas seulement disc-jockey. Il est également musicien. En 2009, il a même sorti un album, un vinyle bien sûr, baptisé Rude Paradis.Un disque instrumental, plutôt cool, dont quelques-unes sont chantées.
« La musique, c'est mon métier.je suis compositeur, arrangeur et je fais parfois un peu de scène », raconte ce Mayennais qui est fan des 3 Eph'. « Je suis à fond pour ce festival. En s'installant en centre-ville, il est devenu plus proche des gens. Il est devenu le festival des Lavallois. »
dimanche 22 mai 2011
TRANZISTOR N° 38
Si vous sortez parfois de chez vous, le nom de PTIT FAT doit sans doute vous mettre la puce à l’oreille. Non ? N’avez-vous donc jamais dansé, un ti’ punch à la main, sur ses vinyles funky dans un bar lavallois ? N’êtes-vous point tombé dans sa bouillante « marmite », potion radiophonique servie deux fois par mois ? N’avez-vous pas connu un coin d’Rude Paradis, premier disque solo, exquis comme il se doit ? Mais trêve d’alexandrins : allons à la rencontre de cet activiste des platines, à la fois touche-à-tout bricolo, collectionneur zélé, DJ lunaire et musicien « fabulateur ».
Ptit Fat : voilà plus de 10 ans qu’il traîne avec lui ce nom de scène rigolo et franglais, sobriquet de longue date qui ferait presque oublier qu’à la ville il s’appelle Mathieu Maurice et n’a, bien sûr, rien d’un « ptit gros ». Sourire bienveillant et regard pétillant, il m’accueille chez lui, m’offre un café puis me conduit jusqu’à son antre secrète, où un imposant mur de vinyles colore la pièce d’une chaleur délicieusement vintage. On se gardera bien de dévoiler les bons coins où notre hôte déniche ses trésors chaque semaine avec un plaisir constant. Mais voilà bien les fameux disques qu’il trimballe par caisses entières quand, le weekend venu, il fait crépiter ses vieilles galettes dans les zincs du 53. « Le DJ, c’est la formule la plus simple et la moins chère pour des soirées conviviales dans les bars, et sans problème de nuisance sonore. C’est beaucoup plus facile aujourd’hui qu’il y a dix ans de trouver des dates pour jouer, notamment à Laval. C’est aussi ce qui me permet de vivre de ma musique, bien que je ne conçoive pas l’activité de DJ comme mon métier. »
Not a juke-box !
Même si ses DJ sets s’articulent souvent autour d’une base soul-funk-disco bien établie, ses quelques milliers de disques lui laissent le luxe de ne jamais tourner en rond. Tout en évitant de céder à la facilité ou au caprice éméché du danseur qui demande, insistant, un tube de Boney M. « Il y a un slogan que j’aime bien et qui résume cet état d’esprit : “A DJ is not a juke-box” ! Ça ne m’empêche pas de choisir des morceaux efficaces, évidents à l’oreille tout en prenant quelques risques, passer d’un style à un autre par petites touches, y aller au feeling en fonction de l’ambiance. Un set c’est plein de mini décharges d’adrénaline pendant quatre ou cinq heures car je ne sais jamais à l’avance quel sera le prochain morceau ». Une démarche distincte de ses chouettes sélections bimensuelles sur les ondes locales de l’Autre Radio, dans la savoureuse « Marmite de Ptit Fat » : là, il concocte deux heures de sélections musicales plus ciblées. « Je choisis notamment les morceaux que je ne passerai pas dans les soirées. Je me cantonne à un style bien précis, la seule question étant : est-ce que j’aurai assez de matière pour deux heures de musique ? » On y entendra par exemple d’érudites playlists consacrées aux musiques d’Afrique, au twist, au gospel, au funk eighties ou au jazz. C’est d’ailleurs le jazz, « musique libre, riche et très ouverte », qui lui procure ses premiers émois de mélomane. Et c’est au saxo, entre deux écoutes de Charlie Parker, qu’il fait ses gammes dans un orchestre. À peine ado, il tourne le dos au solfège pour partir, en pleine furie brit pop et explosion breakbeat, à l’assaut du mythique festival anglais Glastonbury, édition 95. Et forcément, ça marque. « J’avais un pass pour accéder à toutes les scènes, rencontrer tous les groupes. Un truc énorme, il y avait une scène par thème : c’est là que j’ai découvert l’électro. J’y suis retourné deux ans plus tard, et entre temps j’avais mis de côté pour m’acheter deux platines et une mixette. J’ai pu commencer à jouer au chef d’orchestre ! »
Photo de famille
C’est l’époque des cassettes enregistrées dans son coin, petites compilations mixées avec des samples piqués sur des vinyles. Avant de découvrir les joies du home studio avec deux potes à Caen : première expérience de groupe avec Fakir et premier album. « On “bouinait” sur un ordinateur et on faisait plein d’échantillons sonores avec des bruits du quotidien. On avait un son un peu bricolé, que je n’ai pas réussi à retrouver depuis », concède-t-il, un brin nostalgique. Qu’il évoque ce projet collectif, ou bien ceux qui vont suivre, plus portés sur le live (Picturing Sound et L’entourLoOp !), Ptit Fat parle à plusieurs reprises de « fabulation musicale ». Belle image pour appréhender sa musique telle qu’il la perçoit : raconter une histoire avec des notes, sorte de rêverie mélodique, d’illustration sonore d’atmosphères ou de petits films imaginaires. En accord avec le personnage, faux timide et vrai rêveur, qui carbure à l’instinct et à la rencontre. Témoins les nombreux invités sur son premier disque solo, Rude Paradis, dont la « pochette photo de famille » réunit les amis musiciens conviés à la réalisation de l’album et de parfaits inconnus. « C’est comme un vrai groupe qui joue sur cet album, mais personne n’a joué ensemble ! J’ai bossé séparément avec chaque musicien, de façon complètement libre, en embarquant dans l’univers du morceau. Après j’ai rebidouillé chaque partie, à tel point que certains ne savaient plus où ils avaient joué ! Tout les morceaux sont constitués à partir de boucles, sans qu’on ait l’impression que ça tourne en rond ».
Patchwork musical
Entre instruments joués live, samples en pagaille et sons captés au quotidien ici ou ailleurs (sources chaudes en Islande, bruits de mer et d’ambiances en République Dominicaine), Rude Paradis a la fraîcheur des oeuvres improvisées, des partitions inachevées : un patchwork d’esquisses et de cartes postales, un work in progress au charme entêtant, ouvert à tous les horizons. « J’ai voulu synthétiser tout mon travail depuis sept ou huit ans. C’est une musique à écouter peinard en bouquinant, une musique de fond où chaque son est une image. On ne doit pas sentir la cassure entre les morceaux, pour justement ne pas “casser l’ambiance” ». Révélateur de son « amour du disque », l’album est pressé uniquement en format vinyle 33 tours, ce « bel objet au son chaleureux qui met en valeur la pochette et surtout dure dans le temps. » On se prend alors à l’imaginer en disquaire passionné, nous guidant à travers les rayons et nous faisant partager ses dernières pépites. Un rêve, qui, à l’entendre, pourrait bien un jour prendre forme…
Yoan Le Blévec / Printemps 2010